Les soins thermaux
Des soins thermaux adaptés aux pathologies
Découvrez les soins thermaux dispensés, par un personnel attentif et qualifié, suivant les différentes orientations thérapeutiques :
Les soins thermaux dispensés en Rhumatologie
La baignoire est équipée de multiples buses immergées diffusant de l’eau thermale surpressée par des jets orientés et programmables. La température du bain, la pression des jets immergés, et la fréquence des cycles sont déterminées par le médecin prescripteur. L’ensemble de ces paramètres sont pris en considération lors de la dispense des soins.
Effets antalgique, myorelaxant et vasodilatateur procurés par la thermalité du bain. Action mécanique des jets immergés sur les régions sièges de contractures musculaires.
Cette forte douche sous-marine pratiquée grâce à des buses distributrices d’eau placées sur une rampe adossée au mur latéral de la piscine est une technique d’hydrothérapie en balnéation. Le jet, freiné par la masse d’eau de la piscine, permet un massage en douceur des masses musculaires (dos, épaules, coudes, genoux…) et une meilleure pénétration transcutanée des minéraux.
Cette douche de forte pression a également un effet antalgique, sédatif et décontracturant.
Le patient positionné debout peut recevoir une diffusion d’eau sur toutes les parties du corps. Les points de localisations du soin dépendent de la prescription et de la pathologie du patient.
Le jet est adapté en force et en température suivant la pathologie, la localisation et la sensibilité du patient. La douche a, selon la pression et la température, une action stimulante ou décontractante.
La buvette est à la disposition des curistes auxquels le soin est prescrit.
Le curiste remplit son verre d’eau thermale et en absorbe la quantité qui lui est prescrite par le médecin tout en respectant également la fréquence prescrite. C’est un apport massif, pour l’organisme, de sels minéraux et d’oligo-éléments contenus dans l’eau thermale.
Il s’agit d’une douche générale sous jets abondants produits par deux rampes d’aspersion horizontales placées au-dessus du curiste allongé sur une table de massage. Les rampes d’aspersion sont équipées d’ajustages fixes permettant au jet de balayer l’ensemble du corps.
Cette pratique consiste à introduire de l’air sous pression dans un bain simple grâce à des injecteurs répartis dans les parois de la baignoire pour provoquer un effet bouillonnant. Cette technique potentialise les qualités de désinfiltration de sédation de l’eau thermale. L’agitation de l’eau libère les gaz dissous par entraînement de l’air (notamment le gaz carbonique) qui, en frappant la peau du curiste immergé, augmente l’effet vasodilatateur. La température du bain est déterminée par le médecin prescripteur.
Le patient est assis devant un appareil avec des orifices pour mettre les mains et les pieds. Ces orifices diffusent de la vapeur d’eau thermale dont la température est stabilisée à 41°C. Cette température élevée provoque une vasodilatation locale, superficielle et profonde propice aux échanges des éléments actifs. Cette vapeur a un effet sédatif sur la douleur pour l’arthrose des mains et des pieds.
La boue thermale de Casteljaloux est une argile mélangée à l’eau thermale. Le traitement par la boue ou fangothérapie se fait en cabine individuelle sous forme d’applications locales, chaudes ou tièdes.
La boue est obtenue par maturation d’un sédiment marin dans l’eau thermale à 40°C.
Le péloïde de Rochefort est marin par son substrat végétal, et thermal par l’eau nécessaire à sa préparation. Les boues ont un effet sédatif et vasodilatateur qui favorise la pénétration transcutanée des ions soufrés contenus dans l’eau thermale.
La boue est obtenue par maturation d’un sédiment marin dans l’eau thermale à 40°C.
Le péloïde de Rochefort est marin par son substrat végétal, et thermal par l’eau nécessaire à sa préparation. Les boues ont un effet sédatif et vasodilatateur qui favorise la pénétration transcutanée des ions soufrés contenus dans l’eau thermale.
Soins thermaux dispensés par un kinésithérapeute diplômé d’état
Il s’agit de la combinaison des apports du massage et de l’eau thermale diffusée en douche fine. Le massage se fait par effleurage, friction, pétrissage, vibration et pression sous rampe d’eau thermale.
Ce soin consiste en une mobilisation active articulaire collective en piscine d’eau thermale de 32° à 34°C, en présence de masseurs kinésithérapeutes Diplômés d’État. Ce sont des bassins d’eau thermale, de profondeur moyenne, équipés en pourtour de postes de soins individuels avec des rampes de maintien. Chaque patient travaille à son rythme, individuellement, et le kinésithérapeute dirige les mouvements de mobilisation sous immersion en piscine. Immergé dans l’eau thermale, le corps allégé grâce à la poussée d’Archimède, le curiste peut exécuter des séries de mouvements qui seraient impossibles à réaliser dans l’atmosphère mais qui, ici, sont mieux tolérées. Cette combinaison du mouvement et de l’immersion permet une récupération de l’amplitude articulaire en plus des effets sédatifs et antalgiques de l’eau thermale.
Les soins thermaux dispensés en Phlébologie
Cette pratique consiste à introduire de l’air sous pression dans un bain simple grâce à des injecteurs répartis dans les parois de la baignoire pour provoquer un effet bouillonnant. Cette technique potentialise les qualités de désinfiltration et de sédation par l’eau thermale. L’agitation de l’eau libère les gaz dissous par entraînement de l’air (notamment le gaz carbonique) qui, en frappant la peau du curiste immergé, augmente l’effet vasodilatateur. La température du bain est déterminée par le médecin prescripteur.
La baignoire est équipée de multiples buses immergées diffusant de l’eau thermale surpressée par des jets orientés et programmables. La température du bain, la pression des jets immergés, et la fréquence de cycles sont déterminées par le médecin prescripteur. L’ensemble de ces paramètres sont pris en considération lors de la dispense des soins.
Effets antalgique, myorelaxant et vasodilatateur procurés par la thermalité du bain. Action mécanique des jets immergés sur les régions sièges de contractures musculaires.
Application des cataplasmes afin de favoriser la pénétration transcutanée des éléments actifs de l’eau thermale, oligo-éléments et ions soufrés.
Le patient positionné debout peut recevoir une diffusion d’eau sur toutes les parties du corps. Les points de localisations du soins dépendent de la prescription et de la pathologie du patient.
Le jet est adapté en force et en température suivant la pathologie, la localisation et la sensibilité du patient.
La douche a, selon la pression et la température, une action stimulante ou décontractante.
Ils s’effectuent dans des pédiluves activés par des arrivées d’eau thermale et d’air comprimé. L’effet ascendant des bulles d’air et de la masse d’eau mise en mouvement de bas en haut provoque un massage doux et une activation de la circulation de retour. Indiqués dans le traitement de certains troubles phlébologiques au niveau du mollet ou de la cheville, ils s’effectuent dans des pédiluves activés par des arrivées d’eau thermale et d’air comprimé placées au fond du pédiluves.
Soin à part entière, il permet au patient de se déplacer dans un bassin d’eau thermale refroidie à 29°C et de réaliser plusieurs ateliers thérapeutiques : massages de la voûte plantaire, marche sur galets, dorsi-flexions en bain profond, bain froid à18°C … L’ensemble des soins a un effet mécanique de pression sur la stase veineuse et lymphatique et contribue à accélérer la circulation de retour :
- suppression de l’effet négatif de la pression atmosphérique par l’immersion ;
- stimulation de la semelle de Lejars grâce à la marche et à la douche plantaire ;
- activation de la pompe musculaire du mollet par la marche…
Le patient est assis devant un appareil avec des orifices pour mettre les mains et les pieds. Ces orifices diffusent de la vapeur d’eau thermale dont la température est stabilisée à 41°C. Cette température élevée provoque une vasodilatation locale, superficielle et profonde propice aux échanges des éléments actifs. Cette vapeur a un effet sédatif sur la douleur pour l’arthrose des mains et des pieds. Application sur les membres inférieurs de compresses humides et froides, imprégnées d’eau thermale. Leur action est décongestionnante et drainante.
Soins thermaux dispensés par un kinésithérapeute diplômé d’état
Les exercices dispensés assurent un travail de la pompe veineuse du mollet et abdominal en stimulant la respiration diaphragmatique. Cette pratique invite le patient à réaliser des exercices respiratoires et de relaxation. Chaque patient travaille à son rythme.
Les soins thermaux dispensés en Dermatologie
Cette pratique consiste à introduire de l’air sous pression dans un bain simple grâce à des injecteurs répartis dans les parois de la baignoire pour provoquer un effet bouillonnant. Cette technique potentialise les qualités de désinfiltration et de sédation par l’eau thermale. L’agitation de l’eau libère les gaz dissous par entraînement de l’air (notamment le gaz carbonique) qui, en frappant la peau du curiste immergé, augmente l’effet vasodilatateur. La température du bain est déterminée par le médecin prescripteur.
La buvette est à la disposition des curistes auxquels le soin est prescrit. Le curiste remplit son verre d’eau thermale et en absorbe la quantité qui lui est prescrite par le médecin tout en respectant également la fréquence prescrite. C’est un apport massif, pour l’organisme, de sels minéraux et d’oligo-éléments contenus dans l’eau thermale.
Application de compresses chaudes imprégnées d’eau thermale afin de favoriser la pénétration transcutanée des éléments actifs de l’eau thermale, oligo-éléments et ions soufrés.
Soins aux propriétés anti-prurigineuses, anti-inflammatoires, sédatives, et émollientes. Le curiste est placé seul dans une cabine, assis ou debout, au centre d’une douche à trois colonnes produisant un brouillard thermal.
Le patient est debout, il reçoit une diffusion d’eau sur tout le corps à une pression variable. Elle est adaptée en force et en température en fonction de la pathologie, de la localisation et de la sensibilité du patient. Son action est vasodilatatrice et décontracturante.
Application de cataplasmes afin de favoriser la pénétration transcutanée des éléments actifs de l’eau thermale, oligo-éléments et ions soufrés.
Mélange d’argile et d’eau thermale appliqué sur les lésions atteintes.
Les soins thermaux pour Affection des Muqueuses Bucco-Linguales
Cette pratique consiste à introduire de l’air sous pression dans un bain simple grâce à des injecteurs répartis dans les parois de la baignoire pour provoquer un effet bouillonnant. Cette technique potentialise les qualités de désinfiltration de sédation de l’eau thermale. L’agitation de l’eau libère les gaz dissous par entraînement de l’air (notamment le gaz carbonique) qui, en frappant la peau du curiste immergé, augmente l’effet vasodilatateur. La température du bain est déterminée par le médecin prescripteur.
La buvette est à la disposition des curistes auxquels le soin est prescrit. Le curiste remplit son verre d’eau thermale et en absorbe la quantité qui lui est prescrite par le médecin tout en respectant également la fréquence prescrite. C’est un apport massif, pour l’organisme, de sels minéraux et d’oligo-éléments contenus dans l’eau thermale.
Application de compresses chaudes imprégnées d’eau thermale afin de favoriser la pénétration transcutanée des éléments actifs de l’eau thermale, oligo-éléments et ions soufrés.
Soins aux propriétés anti-prurigineuse, anti-inflammatoire, sédative, et emolliente. Le curiste est placé seul dans une cabine, assis ou debout, au centre d’une douche à trois colonnes produisant un brouillard thermal.
Le patient est debout, il reçoit une diffusion d’eau sur tout le corps à une pression variable. Elle est adaptée en force et en température en fonction de la pathologie, de la localisation et de la sensibilité du patient. Son action est vasodilatatrice et décontracturante.
Application des cataplasmes afin de favoriser la pénétration transcutanée des éléments actifs de l’eau thermale, oligo-éléments et ions soufrés.
Elle est indiquée dans le traitement des ostéopathies maxillaires, des pyorrhées alvéolo-dentaires, des allergies odonto-stomatologiques et des parodontopathies (gingivites, parodontites…). Une pulvérisation locale spéciale est pratiquée sur la muqueuse à l’aide d’un appareil appelé parodonthose.